OBSCURITÉ
Dans l'obscurité d'un au revoir silencieux,
J´marche seul, laissant ton ombre derrière moi,
chaque pas résonne avec l'écho de ce qui n'était pas,
et dans ma poitrine il reste un vide qui n'est pas comblé.
C'était un amour qui grandissait dans le silence et dans le feu,
qui rugissait fort puis s'éteignait dans le vent,
Je t'ai laissé partir, non par oubli, mais par peur,
rester piégé dans un rêve brisé.
Maintenant, au loin, il ne reste que le souvenir,
de tes yeux, de tes mains, de ton rire,
une histoire restée dans l'air, suspendue,
comme un soupir perdu dans le néant.
Et même si ça fait mal, j´sais que c'est la fin du chemin,
que parfois aimer, c'est aussi lâcher prise,
lâche-toi pour que l'âme puisse respirer,
et apprendre, en l'absence, à recommencer.
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